Description: | Il a fallu environ à 7 ans pour que l'armé de Sélarya et ses alliés se rendent
jusqu'à la capitale elfique de la cité des merveilles. Lorsque les elfes ont
essuyés plusieurs défaites importantes à cause que leur magie avait aucun effet
sur les troupes les plus importantes de Éléanore, ils ont commencés une
stratégie de guerrilla, et de sabotage.
Chaque pouce que les humains fesaient en terre elfique ils le regrettaient
amèrement. Par fanatismes, tous les elfes, même les veillards, les adolescents
et les femmes au foyés ont prit les armes et se sacrifiaient pour la défense de
leurs village. Une défaite aux mains des humains étaient impensable pour les
elfes et ils préféraient une mort en guerrier que d'être capturé ou de se
rendre. Les attaquent suicides se sont donc multipliés et les rituels de suicide
en famille était aussi commun juste avant l'arrivé de l'envahisseur humain.
Elzar n'avait pas pensé que les elfes résisteraient aussi longtemps sans magie
et à mesure que le conflit avançait, il voyait Éléanore dépérir peu à peu à
cause des effets de la croix runiques. Vers le milieu de la guerre Éléanore
était carément devenue une générale froide, sans émotion, sans pitié pour ses
ennemis et obséder à détruire toute trace de magie sur leur passage, tel que
tuer tout les magiciens, et saisir tout les livres de magie et objet magique
trouvé ce qui a multipliés les pertes de vie civiles et les attrocités de la
guerre. Certains villages et villes qui résistaient ou qui avait une population
hostile vis à vis l'envahisseur humain étaient carément rassé et brulé.
De leur coté les elfes pratiquaient la terre brulé et à mesure qu'ils reculaient
ils amenaient avec eu la nourriture et leur trésor et brulait les champs
cultivable et allaient même jusqu'à empoisonné leur champs pour ne pas que les
humains en profite dans les prochaines années pour nourrire leurs troupes.
Éventuellement les humains sont arrivés à la capitale elfique avec 180 000
soldats, ils étaient prêt de 300 000 au début de la campagne. Fatigué, affamé et
désespéré d'en finir pour rentrer chez eux, les soldats voyaient enfin la
lumière au bout du tunnel et étaient prêt à tout pour en finir le plus
rapidement possible.
|