Suite à l'invention d'un premier prototype viable de moteur à fusion pour
propulser une navette et la reprise économique, l'Agence Spatiale
Internationale est fondé lors d'une fusion entre la NASA et
ESA (Europe Space Agency).
C'est avec grande surprise que le Japon abandonne son propre
programme spatiale qui n'a jamais connu beaucoup de succès et
participe à cette aventure qui est le premier projet de grande
envergure qui nécessite une coopération entre plusieurs coalision de
pays depuis la crise.
Quelques grandes méga-corporations qui ont été formé par la fusion de
plusieurs entreprise après le flash sont aussi impliqués dans la
nouvelle agence comme fournisseur de pièces et équipements et
consultants.
Les scientifiques en chef qui ont conçu le moteur à fusion Alain
Duchesne et un physicien américain Mark Smith sont recruté pour être
les pilliés scientifique de agence. La conception d'une navette
spatiale révolutionaire commence aussitôt et a comme nom de code
Ares.
Le programme est ouvertement critiqué par plusieurs médias et groupe
socialiste n'étant pas d'accord que des milliards sont investit dans
le projet malgré la crise économique que vient de traverser le monde.
Malgré la pression l'agence va voir son budjet débloqué. Les
gouvernements impliqués ont défendu leur position en s'appuyant sur
le fait que le Flash est une leçon que la vie sur terre pourrait être
un jour menacé par d'autres phénomènes spaciaux et qu'il faut
progressé dans ce domaine pour étudier le soleil et fonder des
colonies dans la voie lacté pour assuré la survie de la race humaine.